Partager l'article ! Poème à l'éloge de la fessée: De ma main qui s'élève au-dessus de tes fesses, Adore, mon amie, le phrasé somptueux Qua ...
De ma main qui s'élève au-dessus de tes fesses,
Adore, mon amie, le phrasé somptueux
Quand, malicieusement, nous goûtons à ces jeux
Et que claquent dans l'air mes viriles caresse.
Me délectant de ce désir que tu confesses,
O ma tendre pouliche au souffle impétueux,
Je me plais à t'offrir mon courroux délicieux,
T'administrant la correction dont tu me presses.
Dieu fasse que jamais dans les mornes paresses
Qu'ont toujours engendré les câlins vertueux
Ne sombre le destin de nos jours amoureux,
Qu'il pardonne à tous ceux que ces délicatesses
N'effleurent point et qui ne méritent pas mieux
Que les tristes sailles des samedis pluvieux.