Lundi 11 février
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Bien fesser est un art : un savant cocktail de douleur et de plaisir - un peu de douleur pour beaucoup de plaisir -. Un subtil dosage
qu'il faut savoir varier selon chaque partenaire. Le but étant toujours de la conduire à la plus grande volupté.
Une autre façon de faire l'amour.
Le postérieur est une des zones des plus érogènes. Une fessée progressive, bien préparée par des caresses, provoque non seulement une
excellente excitation de cette partie, mais également un fort afflux de sang dans les zones sexuelles qui sont à leur tour stimulées. Une bonne fessée a le rythme du coït et peut ainsi conduire
la partenaire au plus grand plaisir. Cela me permet de déclarer que la fessée érotique c'est faire l'amour sans pénétration.
Plusieurs de mes partenaires ont exprimé tout le plaisir qu'elles avaient simplement être en position, courbées et retournées sur mes
genoux. La face arrière du corps, donc de la personnalité et donc de l'inconscient, est ainsi exposée. Avec les fesses placées plus haut que le visage, on exprime un retour à l'animalité, à des
instincts primordiaux qui sont, au sens propre du terme, maîtrisés par le fesseur pour être sublimés. C'est, je crois, l'une des raisons les plus profondes du plaisir de la fessée, pour chacun de
ses acteurs.
Le postérieur comme un visage.
Recevoir la fessée, c'est s'abandonner totalement à un partenaire en qui en a confiance. La donner c'est pouvoir observer toutes les
réactions de celle qui se livre, en ayant beaucoup de tendresse pour cette croupe ainsi offerte qui s'anime alors comme un visage. La face cachée remonte à la surface et est amenée, avec un
mélange de douceur et de violence, à s'exprimer totalement.
Comment ne pas commencer par la posture la plus classique : la position dite "OTK" (Over the knees : sur les genoux) :
Diaper : Couchée sur le dos, les jambes relevées, cette position très intéressante permet un large accès au fessier et au haut des cuisses, elle permet également de surveiller les réactions de la
jeune femme pour mieux adapter la séance. Le côté infantilisant de la posture n'est pas négligeable. Attention néanmoins à ne pas relever les jambes trop haut pour ne pas se faire mal au dos.
Enfin, je n'insiste pas sur la vue imprenable offerte au fesseur...
Les positions aux sols sont diverses, mais celle-ci a ma faveur plutot qu'une
posture entièrement couchée. Les épaules bien ajustées au sol et les fesses très levées : comme toutes les positions "à quatre pattes", elles placent la femme en position d'offrande. La
symbolique de recevoir une fessée au pied de son partenaire est également forte de sens et non négligeable pour les émotions de la femme ainsi présentée.
Une position allongée et confortable pour notre partenaire. Très
adaptée pour des fessées longues et appuyées. L'utilisation d'un coussin permet à la fois de rehausser les fesses sans risquer le mal de dos (en revanche pour les fesses se sera une autre
histoire...).
C'est une position "au lit" que j'apprécie particulièrement : suite à une punition plus appuyée, la femme peut ainsi rester allongée pour se reposer et se faire consoler par son fesseur. Et puis
j'avoue que la fessée dans la chambre à un côté "discipline domestique" qui ne me déplaît pas le moins du monde (mais ceci fera l'objet d'un autre article.
Penchée en avant, les mains à plat contre un mur ou appuyées sur une table comme ici.
La femme alternera les postures pieds joints puis écartés. Notez cette pose comme fatiguante pour la femme fessée : les jambes se mettent rapidement à trembler et il est difficile de garder les
jambes bien tendues.
Néamoins l'effort de concentration nécessaire pour garder la pose pendant la fessée peut faire partie du jeu.
